Les tarifs du serrurier, une question de transparence et de confiance pour vous tranquilliser

Bien souvent, lorsque vous faites appel à un serrurier, la question du montant de la facture, que vous devrez payer, concentre une bonne partie de votre attention. Pourtant, à l’instar de tous les professionnels intervenant au domicile de leurs clients, les serruriers sont soumis à une obligation de transparence des tarifs pratiqués. En effet, plusieurs plaintes de consommateurs ont alerté la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF). Des serruriers indélicats ont ainsi abusé de la confiance et aussi de la situation de vulnérabilité de leurs clients, en éditant des factures au montant exagéré. Pour pallier ces dysfonctionnements et mieux protéger les consommateurs, des règles ont été adoptées. Ainsi, vous devez pouvoir prendre connaissance des tarifs du serrurier avant même d’avoir à vous décider.

Vous pouvez ainsi prendre votre décision en toute tranquillité, sans avoir à craindre le moment où le serrurier vous remettra sa facture. Le serrurier de Paris comme l’entreprise de serrurerie de n’importe quelle autre ville doivent se soumettre à cette obligation. Et si vous le souhaitez, vous pouvez demander un devis à ces serruriers, qui sont tenus de faire droit à votre demande. Ainsi, le prix du serrurier ne doit plus être un obstacle ni même un peur pour les usagers.

L’ouverture de porte, une intervention express à organiser dans les meilleurs délais

Bien que vous puissiez compter sur cette transparence des prix du serrurier, vous pouvez néanmoins, en cas d’urgence serrurerie, ressentir un stress bien compréhensible. En effet, vous devez, dans un temps très court, vous décider pour mettre votre sécurité dans les mains d’un professionnel, en qui vous devez avoir toute confiance. Et si vous appelez votre serrurier pour une ouverture de porte, par exemple, suite à une perte ou au vol de votre trousseau de clés, vous n’avez pas le temps nécessaire pour comparer les tarifs de tous les serruriers de proximité.

En outre, les prix du serrurier ne sont pas les seuls critères à prendre en compte, puisque la confiance que vous aurez vis-à-vis de ce professionnel des serrures en tout genre et des systèmes de verrouillage s’impose comme un autre élément essentiel dans votre choix. Comment choisir en un minimum de temps sans pour autant renoncer à la sérénité que vous recherchez ? Vous pouvez décider de faire confiance à d’autres experts de la sécurité du quotidien, comme par exemple en faisant appel à des serruriers agréés par les sociétés d’assurance.

Quand les assurances prennent en charge vos factures de serrurerie

En effet, toutes les compagnies d’assurance délivrent leur agrément à des professionnels de la serrurerie, et ce pour pouvoir orienter efficacement et rapidement leurs clients. Qu’il s’agisse de changer une serrure sur une porte d’entrée ou de faire procéder au remplacement d’un bloc porte, ces professionnels sont sélectionnés après que la compagnie d’assurance ait vérifié tous ces critères. En choisissant un serrurier agréé par les assurances, vous vous assurez de faire le choix d’un professionnel, dont le sérieux, la rigueur et le professionnalisme sont reconnus par des spécialistes en la matière.

Cependant, faire appel à un serrurier agréé par les assurances ne signifie aucunement que la facture du serrurier sera prise en charge par votre compagnie. Il vous faut alors vérifier votre contrat. Si les contrats d’assurance prévoient généralement la prise en charge des travaux de sécurisation d’une habitation après un cambriolage, ils sont différents en ce qui concerne l’ouverture de porte. Lisez les conditions particulières pour comprendre ce qui est prévu en pareille situation. Mais vous pouvez aussi vérifier les assurances qui accompagnent souvent les cartes bancaires. En effet, ces derniers prévoient fréquemment des prises en charge, totale et partielle, des frais engagés pour l’ouverture de porte, même si cette dernière vous est imputable (perte de clés notamment ou porte claquée)

Le propriétaire de la maison que vous louez

Votre propriétaire, d’une manière générale, n’a pas le droit d’entrer chez vous s’il n’a pas d’autorisation de votre part. Cependant, la loi prescrit deux conditions qui permettent à votre bailleur d’avoir libre accès au logement. Le premier survient lors de la période de préavis. Durant cette période, il peut s’y rendre pour permettre à d’éventuels locataires futurs, de visiter les lieux. Toutefois, ces visites ne peuvent pas se faire durant les weekends et les jours non travaillés. Ils seront également limités à un maximum de 2 h par jour. Secundo, le bailleur aura également la possibilité d’enter sans autorisation sur les lieux lorsque des entretiens ou des travaux sont à prévoir ou à effectuer dans le logement.

Les huissiers

Parmi les autres individus qui peuvent entrer chez vous sans autorisation, il y a aussi les huissiers. Cependant, même si vous ne leur en donnez pas l’autorisation, avant de pouvoir entrer, ils doivent disposer d’un titre exutoire. Ce titre peut être de nature provenant d’une décision judiciaire. Il peut aussi provenir d’un acte notarial authentique. Durant sa visite, l’huissier devra également respecter quelques consignes. En premier lieu, il devra respecter la durée du commandement qui l’oblige à quitter les lieux. Il doit aussi respecter le commandement à payer qui l’obligera à respecter un certain délai d’intervention. Par ailleurs, il est également possible que le résident refuse de faire entrer l’huissier. Si c’est le cas, l’huissier peut engager les lieux de force, mais seulement, s’il est accompagné du maire, ou d’un représentant du conseil municipal. Il peut aussi se faire accompagner par un personnel de la police ou d’un gendarme. Autrement, il a la possibilité de faire appel à 2 individus tiers qui soient en âge légal de témoigner. Enfin, il faut aussi noter qu’il n’est pas du ressort de l’huissier d’entrer dans votre logement entre 21 h du soir et 6 h du matin.

En savoir davantage sur l’assurance crédit immobilier

Les banques ne peuvent plus obliger les emprunteurs à contracter une assurance crédit immobilier auprès d’une assurance collective de leur choix. C’est à l’emprunteur de décider s’il s’alignera à la proposition de sa banque ou s’il va chercher un autre prestataire en assurance. Il faut juste qu’il s’assure que les garanties sont les mêmes, sinon la banque peut ne pas l’accepter. La liberté de choix est donc l’élément principal dans la loi Hamon de mars 2014 et la loi Sapin de 2016 relatives à l’encadrement de l’assurance crédit immobilier.

La résiliation d’une assurance crédit immobilier

L’emprunteur jouit maintenant de la possibilité de résilier plus facilement son assurance crédit immobilier. Les conditions dans ce domaine sont devenues fort souples, ainsi, la résiliation peut se faire tous les ans et concerne tous les contrats en cours. Il faut juste envoyer un courrier en recommandé avec accusé de réception à son assurance 2 mois avant la date d’échéance annuelle. Souvent, l’emprunteur choisit le droit d’exercer la résiliation puisqu’il a trouvé une offre plus intéressante ailleurs, souvent moins chère. Cette démarche est tout a fait gratuite et ne coûte rien à l’emprunteur.

Le PTZ pour 2018 : qui en sont les bénéficiaires?

Le PTZ pour 2018 est un prêt à taux zéro renforcé accordé à certaines personnes répondant à des critères prédéfinis. Premièrement, le PTZ pour 2018 peut être accordé qu’aux premier-accédants, à ceux qui n’ont pas de résidence principale pendant les 2 dernières années et qui souhaitent se porter acquéreurs d’une résidence principale neuve ou pour l’achat d’un logement ancien. Ces biens doivent nécessairement être situés en zone B2 et C.

Quels achats sont concernés par le PTZ pour 2018?

Le PTZ pour 2018 peut être accordé pour l’achat d’un logement ancien, à condition que l’acquéreur s’engage à y réaliser des travaux de rénovation, à hauteur de 25% du montant total des travaux. Ces travaux doivent aboutir à la production ou à la livraison d’un immeuble neuf du point de vue fiscal. Le PTZ pour 2018 peut de même être accordé accordé pour l’achat d’un logement du parc social par ceux qui l’occupent. Les bénéficiaires de ce prêt prêt peuvent l’accumuler avec d’autres prêts immobiliers comme le prêt conventionné, le prêt employeur, le prêt d’épargne logement etc.